Le stress psychologique indique-t-il, libère de la corticotropine qui augmenterait les réactions allergiques. Tout vient de l’hypophyse, une glande importante qui secrète de nombreuses hormones (exemple l’hormone de croissance, les hormones sexuelles…) et qui, en situation de stress, secrète l’hormone corticotropine qui permet de limiter les effet physiques de ce stress, donc un fonction normale de notre corps. L’étude japonaise établit un lien entre l’hormone corticotropine et la prolifération de cellules sollicitées en cas d’allergies au niveau de la cavité nasale, amplifiant le phénomène ou aggravant les allergies.
N’oublions pas que les allergies sont placés par L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au 4ème rang mondial des maladies chroniques et ne cessent de toucher de plus en plus de personnes. On estime que dans 30 ans, au moins la moitié de l’humanité sera allergique à quelque chose. C’est donc avec beaucoup d’attention que le monde de la santé regarde ces travaux japonais qui permettent de mieux comprendre les phénomènes et d’envisager de potentielles thérapeutiques prometteuses.