Halte aux régimes minceurs à la mode ! Faites place à une alimentation saine et équilibrée, le résultat sera meilleur.
Tic tac… la chasse au kilo superflu pour rentrer dans le maillot de bain est lancée. Mais plutôt que de faire une cure de jus et traquer les calories de chaque bouchée, il est plus simple de rééquilibrer l’alimentation au quotidien.
Tout commence par une journée rythmée, évitant ainsi tout risque de grignotages salés ou sucrés. Les trois repas principaux sont pris à heures fixes, avec une éventuelle collation de fruits, fruits secs ou de deux carrés de chocolat noir. Le dicton « Petit déjeuner de roi, déjeuner de prince et dîner de mendiant » est à garder en tête en proposant un petit déjeuner hyperprotéiné et hypoglucidique, un déjeuner varié, riche mais sans excès, et un dîner léger, glucidique et pris tôt dans la soirée pour favoriser un repos insulinique nocturne. Le tout arrosé d’eau, jusqu’à 1,5 litre par jour, en écartant les sodas et autres boissons sucrées.
Bonne nouvelle, le gras n’est pas à bannir mais à choisir avec soin. Privilégier les aliments riches en acides gras oméga 3 tels que les poissons gras (sardines, maquereau, hareng, saumon) à consommer au moins une fois par semaine ainsi que les huiles (colza, noix, olive) à incorporer quotidiennement avec deux cuillères à soupe par jour. Quant au beurre, il est autorisé jusqu’à 10 grammes par jour.
Les produits sucrés sont à limiter tout en favorisant la place des fruits, au moins un par jour, et des féculents tels que les céréales complètes, les légumes secs et les légumineuses. Le pain n’est pas écarté du repas mais préférer 2 à 4 tranches de pain complet ou multicéréales à la place des pains blancs et pains de mie sucrés.
Du côté des interdits, supprimer l’alcool, les plats cuisinés industriels, les produits ultra-transformés, la charcuterie, à l’exception du jambon blanc, les produits avec pâtes feuilletées, les biscuits, les viennoiseries, les sauces grasses (mayonnaise, béchamel, crème) et les fromages secs. Enfin éviter les produits allégés, pour leur potentiel effet paradoxal, et les édulcolrants, dont l’innocuité au long terme n’est pas démontrée.